Salut les Geeks ! Dans cet article, je souhaite un joyeux anniversaire à Dragon Ball (oui je sais je suis en retard) qui vient de fêter ses 30 ans ! Mon hommage, c’est la présentation en photos, tome par tome, des 42 mangas DBZ première édition en version japonaise, le tout précédé de ma petite histoire personnelle et sentimentale avec cette série.
Le 3 décembre dernier, le mythique Shonen Dragon Ball Z fêtait ses 30 ans !
C’est le 3 décembre 1984 que l’on a rencontré pour la première fois Son Goku dans l’hebdomadaire japonais Weekly Shonen Jump qui donnait alors naissance à une histoire qui allait devenir partie intégrante de la culture de toute une génération, et bien plus encore… N’en déplaise à Ségolène…
En 2013, selon Wikipedia, 230 millions (!) de mangas Dragon Ball Z avaient été écoulés dans le monde ! Akira Toriyama a de quoi être fier de son travail. Et c’est sans compter les films, l’anime, les suites, les cartes et autres produits dérivés…
Dragon Ball Z, encore aujourd’hui, continue de faire rêver les nouvelles générations. J’en avais parlé il y a déjà quelques années sur ce blog, et Le Monde aussi avait écrit un article sur ce constat : comment Dragon Ball a traversé les générations.
Dragon Ball Z, c’est LE manga le plus culte de tous les temps, le manga emblématique de tout un genre et de toute une génération.
Mes souvenirs de cour de récréation de CM2, sixième et cinquième sont composés d’échanges de cartes Dragon Ball Z et de discussions passionnées sur le dernier épisode de Dragon Ball Z au Club Dorothée : et Radditz ; et Végéta qu arrive sur Terre ; et Goku sur le chemin du serpent ; et chez Kaïoh ; et sur Namek ; oh Freezer…
Quand j’étais en sixième (donc l’année 1993-1994 – ça remonte hein p*tain !), pour connaître la suite de Dragon Ball Z sans y passer des années, j’allais acheter les mangas DBZ en version japonaise avec mes économies (20 francs par semaine – 3€) à la librairie Tonkam de Paris.
Et avec un pote, pour aller plus vite, on s’y mettait à deux : on achetait chacun un numéro sur deux de la version japonaise du manga DBZ, ce qui nous a permis assez rapidement d’avoir les 42 numéros, et d’être parmi les premiers à connaître toute l’histoire de Son Goku et de ses amis.
(Non on ne lisait pas le Japonais ! Mais dans l’ensemble on comprenait…)
Plus tard même, alors que j’étais en troisième (à l’époque on en était aux débuts de la saga Boo à la télé), le mercredi matin j’étais capable de partir de chez moi à la bourre et d’arriver en retard au collège juste pour voir quelques minutes de ces interminables combats.
Aujourd’hui, et parce que je n’ai pas eu le temps de le faire depuis que Dragon Ball a fêté ses 30 ans, je publie cet article avec en photo, chacun des 42 tomes du manga original de Dragon Ball Z !
Une collection à laquelle je tiens beaucoup et que je suis très fier d’avoir dans ma bibliothèque ! J’ajouterai les photos sur la page de ma collection dbz. Pour la petite anecdote, j’ai réuni l’intégral japonais uniquement grâce à mes brocantes (du coup j’ai une quinzaine de numéros en double).
Mes mangas Dragon Ball Z
Les illustrations des couvertures en font une des plus belles éditions pour moi !
BONUS : Mes OAV DBZ en mangas couleurs JAP
Il m’en manque quelques-uns mais la plupart sont là 🙂
BONUS BIS : La vengeance des mangas !
Voilà, et pour finir, je vous laisse avec une petite vidéo qui détruit comme il faut Ségolène et sa théorie des bébés zappeurs ; celle à cause de qui, nous n’avons jamais eu droit en France de voir la fin de Dragon Ball Z à la télé !
Oui c’est clair, Dragon Ball passionne encore énormément de nos jours. J’en ai garder 3 de Manga DBZ. Ils sont en français : édition Glénat (2). J’en avais d’avantage. Mais j’ai donné pas mal de Manga,magazines Club Dorothée et autres goodies…, il fut une époque. J’ai encore quelques objets.
Je mettais acheté le Tome 42 (édition Glénat toujours) pour avoir la chance de connaître la fin de Dragon Ball Z 🙂
Ca me manque ces temps-ci. Je pense me refaire une collection Dragon Ball 🙂 A voir avec le temps ^^
Salut Goldeneye 🙂
Moi j’ai toujours eu mes mangas DBZ Glénat en français, mais par contre je me suis relancé dans la collection seulement après avoir retrouvé mon classeur de cartes Dragon Balll de l’époque.
Après ça je me suis mis à rechercher des cartes dans les brocantes et puis très vite je suis tombé dans les petites figurines, les jeux, les magazines etc.
Si tu te relances dans une petite collec, reviens la partager 😉
En tout cas l’histoire complète en mangas, c’est juste une obligation ! 😛
La deuxième édition Glénat, date des années 2000? Les manga sont en couleurs?
On voit bien qu’il y a une différence d’époque entre nous deux. Tu dois être plus jeune que moi (sur ton blog, je vois que tu as 30 ans). Moi, j’en ai 32.
Ca doit être pour cela que tu as pris la deuxième édition. A vrai dire, je ne la connaissais même pas cette seconde édition. Je pensais qu’il y avait qu’une édition française Glénat pour les tomes 🙂
J’ai 32 ans aussi 🙂
La deuxième édition Glénat date de 2005 et elle est en noir et blanc.
J’ai pris celle-ci car la traduction est beaucoup mieux (les jeux de mots japonais sont conservés et expliqués par exemple au lieu d’être quasiment supprimés dans la première version française) et les couvertures reprennent les artworks japonais qui sont beaucoup plus classes que ceux de la VF.
La deuxième édition est vendue par deux volumes dans un très bel insert noir et rouge qui fait une fresque quand les 21 volumes (comprenant chacun deux tomes donc) sont réunis avec écrit Dragon Ball en doré). Je te conseille vraiment celle-ci d’ailleurs si tu cherches à réunir les mangas.
Mais j’ai aussi la première édition VF mais incomplète, je dois avoir une quinzaine de tomes. 😉
C’est marrant on a le même parcours, dès 92 j’allais à la boutique Tonkam m’acheter les tomes japonais du manga, je ne comprenais pas non plus cette langue, mais je dévorais les dessins.
Les Animes Comics, ah c’était le rêve de les avoir, surtout que les VHS d’AK Vidéo n’étaient pas encore là, j’ai quasi découvert tous les films de l’époque par ce biais. Autant dire que j’étais très très heureux d’avoir celui sur Bojack.
Une époque bénie l’import, vraiment.
Salut Sharnalk,
Ah c’est marrant ça !
Si ça se trouve on s’est croisé chez Tonkam quand on était tout jeunot.
Je traversais tout Paris en métro pour y aller et j’y passais l’aprèm entier à lire des mangas (Ranma 1/2, Sailor Moon etc) et à rêver sur toutes les cartes qu’ils avaient. J’y ait re-découvert Nicky Larson aussi, enfin, City Hunter !
Une époque bénie, oui ! 😉
Eh c’est pas faux, d’autant qu’on était pas si nombreux que ça. Tu allais aussi dans la boutique “Atomic Club” ? Il y avait des collections de cartes inouïes, genre la collection complète des Shikatji de Saint Seiya à 20 000 frs.
Ah non la boutique “Atomic Club” ça ne me dit rien…
Je me rappelle que je faisais quelques autres boutiques dans le quartier mais je ne me souviens plus des noms…
Super les couvertures japonaises édition 1, merci pour la découverte.